Plein air

« Le bout du monde et le fond du jardin contiennent la même quantité de merveilles. » Christian Bobin

Le confinement du printemps 2020 a changé ma façon de percevoir le « dehors ». Tout dans la campagne environnante m’est apparu comme nouveau. Les gens, les paysages, les végétaux, les phénomènes naturels si banals sont devenus source d’émerveillement.

Au même moment, la lecture de l’ouvrage d’Henri David Thoreau : Walden ou la vie dans les bois entrait en résonance avec l’appel du plein air. Ce passage du livre « C’est surtout en plein air (…) que se cultive le goût du beau », sonnait comme une invitation à contempler le monde alentour et à se sentir vivant.